Sportive et vegan ? Comment m’assurer que mon alimentation est adaptée pour l’effort

https://www.trybu.eu/produit/inca-boost-vegan-protein-bio-400/

Comme le sait tout sportif, le plus compliqué c’est évidemment de nourrir les muscles, le soutien à l’effort et une endurance adaptée à sa pratique sportive.

 

Tennis et vegan

Moi c’est le tennis. Donc il me faut du ressort permanent (énergie), une alimentation équilibrée pour prévenir les petits soucis : tendinites, tennis elbow,… et aussi m’assurer d’une endurance minimale si les matchs durent (même si je reprends du snack et des boissons au fur et à mesure du match).

Donc on parle bien « protéines » et du « boost énergétique » sur l’instant le cas échéant. Or, je suis vegan !

J’ai eu du mal au départ à assumer sport  / muscle / absence de protéines animales (comme tout ceux qui s’y mettent). J’ai pris plein de témoignages, visité plein de forums pour me faire une idée de : comment peut-on être sportif-et-vegan ?

Plein de solutions existent. Pour ma part je suis tombée assez vite sur les protéines trybu nutrition grâce à un coéquipier de l’équipe mixte connu dans le club pour être végétalien depuis une éternité.

 

Pourquoi je suis devenue vegan

Je suis arrivée au vegan alors qu’une verrue plantaire persistante me pourrissait la vie (notamment au tennis), sans que mon dermato n’ait pu faire quoique ce soit. Après des recherches web, on s’aperçoit que c’est le système immunitaire qui est en cause dans la lutte contre le « virus verrue ». J’ai donc adopté, parmi 50 autres tentatives (trucs de grand-mères, plantes, huiles essentielles…) les légumes, fruits, oléagineux et blog de recettes bonnes et gourmandes vegan.

Le résultat a été incroyable : la verrue qui était là depuis 3 ans (!) est partie en 2 semaines. Alors d’accord je l’avais attaquée dans tous les sens et par 10.000 moyens auparavant, mais rien n’avait marché. Là en 2 semaine, mon système immunitaire s’est débarrassé tout seul de la vilaine méchante verrue.

 

Que je puisse garantir mon équilibre alimentaire

Le plus important pour moi, c’était zéro carence. Je ne veux pas d’accident de parcours sous prétexte qu’un tendon, qu’un muscle ou qu’une articulation est fragilisée par l’absence de tel ou tel acide aminé, ou autre vitamine… J’ai donc fait le Inca Boost. Pour mon coéquipier du club, c’est l’inverse qui se passe quand tu es vegan : tu n’as plus de carence (ou presque) parce que ton corps reprend son fonctionnement naturel de fabriquer de lui-même ce qui ne lui est pas fourni par la nourriture. Néanmoins, puisque je compte continuer le vegan (ou au moins flexitarien-vegan) j’ai prévu de prendre rendez-vous avec un nutritionniste, pour être sûre.

 

 

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